C’est peut-être LA bonne nouvelle de 2016. Et si l’humanité venait enfin de trouver un véritable vaccin contre le virus du sida ? Alors que jusqu’à maintenant, les soins proposés permettaient aux patients de voir leur maladie “stoppée” sans être véritablement guérie, un conglomérat de scientifiques vient d’apporter un véritable espoir dans cette lutte sans merci. C’est donc avec l’aide des chercheurs provenant de cinq grandes universités anglaises qu’une nouvelle thérapie révolutionnaire a pu être développée et pourrait, dans un futur proche, guérir des milliers de patients atteints de cette maladie.
Le virus n’existe plus
Le problème actuel du sida, c’est que les scientifiques n’ont jamais réussi à supprimer totalement le virus du corps des patients. Grâce à plusieurs procédés, ils avaient permis aux malades de vivre, notamment en stoppant la progression du virus et en s’assurant qu’il ne réussirait pas à évoluer au fil du temps. C’est dans ce but qu’un nouveau traitement a été élaboré et est actuellement testé sur 50 patients britanniques. Et c’est un d’entre eux, un homme de 44 ans, qui suscite l’espoir. Alors que ce nouveau traitement a pour objectif principal de s’attaquer de front au virus même lorsqu’il est en état dormant (c’est-à-dire que les cellules de notre corps réussissent à vivre normalement même dans un milieu hostile et malade).
Au Sunday Times, les chercheurs ont ainsi expliqué qu’actuellement, le patient de 44 ans n’avait plus aucune trace du virus dans le sang. Une première jamais observée depuis l’arrivée de cette maladie dans le monde. Ainsi, “si la situation ne se modifie pas, on pourra considérer qu’il est le premier Homme guéri du sida” précisent-ils.
“C’est l’une des premières tentatives sérieuses pour une guérison totale du VIH. Nous sommes en train d’explorer de réelles possibilités afin de guérir du VIH. C’est un défi énorme et nous sommes dans les premiers jours de traitement, mais le progrès est remarquable” assure Mark Samuels, directeur général de la National Institute for Health Research Office for Clinical Research Office.
Il faut désormais réussir à comprendre comment le virus a pu être à ce point supprimé chez ce patient et, si possible, généraliser le traitement à tous les malades. On espère que ça viendra le plus vite possible !